Une jeune femme gendarme se suicide
Âgée de 25 ans c’est par absorption probable de médicaments que Alesia Ehlinger, 25 ans s’est donnée la mort alors qu’elle rentrait de permission. Ses collègues de la brigade de Fontenay-le-Conte (85) inquiets de son absence à la prise de service le 29 décembre sont allés à son domicile où ils ont trouvé son corps sans vie.
Cette jeune femme très appréciée avait participé avec un de ses camarades, au sauvetage d’une personne tombée dans une rivière avec sa voiture en janvier 2013. Ce geste exceptionnel lui avait valu la remise de la médaille pour acte de courage et dévouement des mains de M. Manuel Valls, ministre de l’Intérieur à l’époque.
Tristesse, effroi, incompréhension, soutien aux familles et camarades, compassion, ce sont des sentiments que nous éprouvons à la suite de toutes ces tragédies qui endeuillent et brisent des familles.
Nous ignorons le plus souvent les causes de ces suicides mais nous savons pertinemment que les conditions de travail, le manque de moyens et d’effectifs face à des missions de plus en plus exigeantes sont en grande partie responsables de ces tragédies, même lorsqu’on arrive à déterminer que c’est une cause personnelle qui en est l’origine. Le respect de la hiérarchie à l’égard des subalternes entre parfois dans les raisons de ces drames, le manque de considération des responsables politiques n’y est pas toujours étranger.
Cette jeune femme très appréciée avait participé avec un de ses camarades, au sauvetage d’une personne tombée dans une rivière avec sa voiture en janvier 2013. Ce geste exceptionnel lui avait valu la remise de la médaille pour acte de courage et dévouement des mains de M. Manuel Valls, ministre de l’Intérieur à l’époque.
Tristesse, effroi, incompréhension, soutien aux familles et camarades, compassion, ce sont des sentiments que nous éprouvons à la suite de toutes ces tragédies qui endeuillent et brisent des familles.
Nous ignorons le plus souvent les causes de ces suicides mais nous savons pertinemment que les conditions de travail, le manque de moyens et d’effectifs face à des missions de plus en plus exigeantes sont en grande partie responsables de ces tragédies, même lorsqu’on arrive à déterminer que c’est une cause personnelle qui en est l’origine. Le respect de la hiérarchie à l’égard des subalternes entre parfois dans les raisons de ces drames, le manque de considération des responsables politiques n’y est pas toujours étranger.
Dernière édition par Admin le Lun 29 Déc 2014, 21:52, édité 2 fois