Un gendarme contraint à faire feu mercredi soir à Montreuil-Juigné
Mercredi soir, à Montreuil-Juigné, il est 20 h 40. Les gendarmes ont stationné leur voiture dans le carrefour de la place de la République. Ils procèdent à un contrôle aléatoire des usagers qui se croisent ici. Certains arrivent de Feneu par la rue Anatole-France, au coin du bar-brasserie de l'Esplanade, sur la route départementale 768, qui se prolonge par la rue Victor-Hugo, en direction d'Avrillé et d'Angers. La perpendiculaire est la vieille route de Laval, la rue Albert-Camus, qui devient rue Emile-Zola pour rejoindre la mairie et l'église.
Un témoin raconte : « Tout d'un coup, on a entendu un grand « clac ». Le « clac » en question était en réalité un coup de feu.
Le militaire aurait tiré une seule fois avec son pistolet automatique, constatant que l'automobiliste fonçait délibérément sur ses deux collègues, alors qu'ils étaient occupés à contrôler un autre usager.
Une enquête est en cours
Mercredi soir, à Montreuil-Juigné, il est 20 h 40. Les gendarmes ont stationné leur voiture dans le carrefour de la place de la République. Ils procèdent à un contrôle aléatoire des usagers qui se croisent ici. Certains arrivent de Feneu par la rue Anatole-France, au coin du bar-brasserie de l'Esplanade, sur la route départementale 768, qui se prolonge par la rue Victor-Hugo, en direction d'Avrillé et d'Angers. La perpendiculaire est la vieille route de Laval, la rue Albert-Camus, qui devient rue Emile-Zola pour rejoindre la mairie et l'église.
Un témoin raconte : « Tout d'un coup, on a entendu un grand « clac ». Le « clac » en question était en réalité un coup de feu.
Le militaire aurait tiré une seule fois avec son pistolet automatique, constatant que l'automobiliste fonçait délibérément sur ses deux collègues, alors qu'ils étaient occupés à contrôler un autre usager.
Une enquête est en cours