Extrait du magazine AG&C N°75 - Espace public ouvert aux commentaires.
Un sujet fort intéressant que cette histoire de port d'étui de cuisse, et qui soulève encore une fois un vrai problème de fond sur lequel nos chefs devraient peut être se pencher un peu plus en profondeur.
En effet, dès lors qu'un sujet devient récurent, la solution trouvée est souvent prise sans prendre en compte la globalité des critères. Si l'on s’interroge sur le port autorisé ou pas de cet étui, c'est que cela répond forcément à une demande, et ce, pour des tas de raisons diverses et variées, énumérées tout au long de ce post. Mais la où le bas blesse à mon sens, est que l'un des critères souvent évoqués est le côté médical. Je prend mon cas personnel, où en étant en BTA, après deux gros lumbago, le médecin militaire m'a prescrit le port de cet étui. Réflexion de ce médecin militaire : " il n' y a bien qu'en Gendarmerie où l'on voit encore une aberration pareil du port d'un ceinturon de près de 3 kilos à la hanche !! "
Après discussion avec ce médecin militaire, elle ne comprend toujours pas pourquoi une vraie étude sur le sujet n'ai jamais été lancée par la Gendarmerie. Il est peut être là finalement le fond du problème. Pourquoi ne pas lancer un audit au sein des structures de santé militaire sur le sujet et en tirer les conséquences ? Le mal de dos est la maladie " gendarmique " par excellence, alors adaptons le matériel en conséquence. Aller voir son médecin militaire pour avoir une prescription pour un étui de cuisse est tout bonnement un non sens ! Cela ne résolve en rien le problème de fond ! Si on suit le même raisonnement, pourquoi rendre obligatoire le vaccin contre la grippe alors qu'il suffirait que le militaire se soigne s'il contracte la maladie ? Nous sommes devant la même problématique. L'anticipation par l'étude de la cause est de loin la meilleur des solutions. Une sorte de vaccination au mal de dos. Mais peut être que cela pose un autre problème ? Celui de reconnaître de fait la mal de dos comme maladie professionnelle, et évidement, tout ce qui en découle.
Un sujet fort intéressant que cette histoire de port d'étui de cuisse, et qui soulève encore une fois un vrai problème de fond sur lequel nos chefs devraient peut être se pencher un peu plus en profondeur.
En effet, dès lors qu'un sujet devient récurent, la solution trouvée est souvent prise sans prendre en compte la globalité des critères. Si l'on s’interroge sur le port autorisé ou pas de cet étui, c'est que cela répond forcément à une demande, et ce, pour des tas de raisons diverses et variées, énumérées tout au long de ce post. Mais la où le bas blesse à mon sens, est que l'un des critères souvent évoqués est le côté médical. Je prend mon cas personnel, où en étant en BTA, après deux gros lumbago, le médecin militaire m'a prescrit le port de cet étui. Réflexion de ce médecin militaire : " il n' y a bien qu'en Gendarmerie où l'on voit encore une aberration pareil du port d'un ceinturon de près de 3 kilos à la hanche !! "
Après discussion avec ce médecin militaire, elle ne comprend toujours pas pourquoi une vraie étude sur le sujet n'ai jamais été lancée par la Gendarmerie. Il est peut être là finalement le fond du problème. Pourquoi ne pas lancer un audit au sein des structures de santé militaire sur le sujet et en tirer les conséquences ? Le mal de dos est la maladie " gendarmique " par excellence, alors adaptons le matériel en conséquence. Aller voir son médecin militaire pour avoir une prescription pour un étui de cuisse est tout bonnement un non sens ! Cela ne résolve en rien le problème de fond ! Si on suit le même raisonnement, pourquoi rendre obligatoire le vaccin contre la grippe alors qu'il suffirait que le militaire se soigne s'il contracte la maladie ? Nous sommes devant la même problématique. L'anticipation par l'étude de la cause est de loin la meilleur des solutions. Une sorte de vaccination au mal de dos. Mais peut être que cela pose un autre problème ? Celui de reconnaître de fait la mal de dos comme maladie professionnelle, et évidement, tout ce qui en découle.